Voici les 12 associations membres les mieux classées selon l’indice CAF qui bénéficient de la nouvelle réforme !
L’UEFA vient d’acter sa reforme qui implique la Ligue des champions à 36 équipes au lieu de 32 avec comme pour corollaires plusieurs modifications des règles. Dans la foulée la CAF semble lui emprunter le pas. Seulement dans une proportion moindre. La CAF a notamment annoncé ce lundi 3 juin 2024, la liste des 1 2 associations membres les mieux classées selon l’indice CAF. En effet ces 12 nations bénéficieront d’une réforme majeure.
Les réformes de la CAF.
La plus importante réforme dispose que les 12 nations concernées peuvent inscrire deux clubs en Ligue des Champions et en Coupe de la Confédération. Il s’agit en effet de: l’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Angola, la Côte d’Ivoire, l’Egypte, la Libye, le Maroc, le Nigeria, la RD Congo, le Soudan, la Tunisie et la Tanzanie.
Aussi, l’on apprend que les formats des compétitions inter-clubs de la CAF sont modifiés sensiblement. Le deuxième tour préliminaire additionnel de la Coupe de la Confédération reste annulé. Par conséquent, les équipes éliminées au second tour de la Ligue des Champions CAF ne seront plus reversées en Coupe de la Confédération. En plus de cela, les clubs qui se qualifient pour le deuxième tour préliminaire de la Coupe de la Confédération passeront directement à la phase de groupes de la compétition.
Une réforme qui tend à faire disparaître les fédérations mal classées.
Au nombre des 12 pays figurent l’Égypte, le Maroc, la Tunisie, l’Algérie, RD Congo ou le Nigeria dans une moindre mesure. Les clubs de ces pays comme Al Ahly, Zamalek, ES Tunis, Berkane, TP Mazembe…figurent déjà souvent au palmarès des compétitions inter-clubs de la CAF comme la LDC et la Coupe des Confédérations. L’entrée en vigueur de cette nouvelle mesure ne fera que renforcer leur présence au palmarès de ces compétitions au détriment des pays dont les clubs risquent de disparaître. Surtout quand on sait que leur petits budgets ne peuvent en rien rivaliser avec ceux des » grands clubs ». Avec cette réforme, c’est une nouvelle ère du football africain qui s’ouvre.