Le Mondial des clubs reporté pour le 1er au 10 septembre 2024, 150 légendes de 60 nationalités différentes attendues à Kigali !
Kigali capitale du football mondial pendant 10 jours, accueille Le Mondial des légendes, également connu sous le nom de Championnat du monde des Clubs de Vétérans (VCWC).
Initialement prévu pour se dérouler du 10 au 20 mai, le championnat a été reporté pour avoir enfin lieu de 1er au 10 septembre 2024. Le Rwanda organise la première édition du mondial des légendes. Un florilège de stars du football sera présent dans la capitale rwandaise. Pas pour une parade ou une soirée de gala. Mais pour cajoler encore le cuir rond. Des icônes de tous les cinq continents du monde se donnent rendez-vous sur la pelouse pour des confrontations pour le moins atypiques. C’est une compétition mondiale qui va se dérouler entre huit régions. Les 150 stars seront reparties au sein des régions dans des play-offs à partir des quarts de finale. Chaque équipe comprendra 15 légendes masculines et 2 légendes féminines.
Un rassemblement de joueurs de générations différentes et d’origines diverses, où on s’attend à les revoir le ballons entre les jambes : Khalilou Fadiga (Sénégal), Patrick M’Boma et Roger Milla(Cameroun), Jimmy Gatete (Rwanda), Anthony Baffoe (Ghana) et même l’ancien président libérien George Weah (2018-2024) et l’unique africain ballon d’or France Football (1995). En Europe, on aura entre autres : Robert Pires (France), Gaizka Mendieta (Espagne) et en Amérique : Douglas Maicon (Brésil) Charmaine Hooper (Canada)…
Le VCWC n’est pas que du football. Autour du football beaucoup d’autres manifestations vont rehausser le rendez-vous. Notamment Cinq forums en lien avec les Objectifs de Développement Durable (ODD) se tiendront. Des rencontres avec la jeunesse et les actions sociales sont aussi prévues. Bref, un tremplin pour le développement en s’appuyant sur le football. Les nombreuses stars fortunées vont mettre la main à la poche certainement pour impulser le développement dans une Afrique qui ne demande que ça. Mais, à côté de l’utile, l’agréable ne manquera pas. Les beaux gestes techniques endiableront les matchs ! Comme le dit un adage africain : « On n’apprend pas à grimacer à un vieux singe ».