Hugo Broos dévoile son équipe contre le Lesotho et le Nigéria

Les Bafana Bafana, emmenés par Hugo Broos, abordent une étape décisive des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 avec deux matchs clés au Free State Stadium de Bloemfontein : le Lesotho (5 septembre) et le Nigeria (9 septembre).

Leaders du groupe C avec 13 points, cinq d’avance sur le Rwanda et le Bénin (8 points), les Sud-Africains peuvent quasiment sceller leur qualification pour le Mondial aux États-Unis, Canada et Mexique. Broos a dévoilé ce 28 août sa liste finale de 23 joueurs, un savant mélange d’expérience et de jeunesse, pour affronter des adversaires redoutables dans un contexte africain marqué par des défis financiers.

Un effectif équilibré pour un défi majeur

La sélection de Broos repose sur des piliers comme Ronwen Williams (Mamelodi Sundowns), capitaine et gardien de référence, Teboho Mokoena, métronome du milieu, et Lyle Foster (Burnley), fer de lance en attaque. De nouveaux visages, comme Ime Okon (Hannover 96), et les jeunes d’Orlando Pirates, Relebohile Mofokeng et Mbekezeli Mbokazi, apportent du dynamisme.

Avec quatre joueurs évoluant à l’étranger, dont Mohau Nkota (Al Ettifaq), l’effectif allie talent local et expérience internationale. Face au Lesotho, 5e avec 6 points, les Bafana bénéficieront d’un avantage : le match, officiellement à l’extérieur, se jouera à Bloemfontein, faute de stade homologué au Lesotho.

Contre le Nigeria, 4e avec 7 points et en difficulté après un nul 1-1 face aux Bafana en juin 2024, l’enjeu sera émotionnel, avec un public attendu nombreux. Une victoire consoliderait la première place, synonyme de qualification directe.

Une qualification à portée de main pour Hugo Broos et l’Afrique du Sud

Avec 4 victoires en 6 matchs, dont un 2-0 contre le Lesotho en mars 2025, les Bafana sont en position de force. Une double victoire assurerait presque une première participation depuis 2010.

Pour Broos, l’enjeu est clair : les Bafana Bafana doivent jouer avec intensité et efficacité. Avec des talents comme Mofokeng et Foster, et l’expérience de Williams, l’Afrique du Sud a tout pour écrire l’histoire à Bloemfontein.

 

 

 

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