Une mère de 4 enfants met Neymar à nu !
L’actuel sociétaire du club saoudien d’Al Hilal, ploie déjà sous le poids des critiques pour ses sempiternelles blessures qui frisent l’innommables. Comme si tout cela ne suffisait guère, il défraye la chronique encore par une assignation aux prud’hommes.
La brésilienne de 25 ans et mère de 4 enfants qui avait assigné Neymar aux prud’hommes sort enfin de son mutisme et s’exprime : “ La secrétaire m’a appelée et m’a dit : voici votre salaire, vous n’avez plus besoin de venir, réglez votre vie personnelle (grossesse). Ils m’ont dit d’aller chercher mon argent auprès de l’agent de sécurité à l’entrée principale. Je me suis retrouvée sans aucun soutien. On m’a même coupé l’électricité pendant une semaine […] Ils m’ont demandé de rester plus longtemps dans la maison et j’ai dit oui parce que j’en avais besoin. Être une mère célibataire avec quatre enfants n’est pas une plaisanterie. Le weekend, je travaillais toute la nuit. Comme je devais renter tôt le lendemain matin, je dormais sur place. Mais je n’ai jamais reçu de prime de nuit. J’ai fait mes heures comme ils l’ont demandé, mais je ne le savais pas “ a-t-elle confié au quotidien Record.
Cette compatriote de la star brésilienne qui travaillait comme femme de maison l’a assigné aux prud’hommes pour travail dissimulé et lui réclame 368 000 euros. Toujours sans papier, elle aurait travaillé tous les jours de la semaine entre janvier 2021 et octobre 2022 sans avoir été déclarée. Elle aurait même travaillé jusqu’à deux semaines environ de son accouchement. Selon les informations recueillies, la dame aurait tenté de trouver un accord à l’amiable mais la lettre adressée n’a jamais eu de suite.
Cette sordide affaire de maltraitance vient mettre totalement à nu l’ex-joueur du Paris Saint Germain qui bénéficiât d’une grande popularité auprès des aficionados. Seulement, il est légitime de se demander si Ney était vraiment au courant de l’affaire. Vu la fortune de l’intéressé, on s’imagine mal qu’il puisse réserver un traitement pareil à une compatriote de surplus. Les intermédiaires qui constituent son équipe de travail pourraient s’avérer les véritables dissimulateurs dans cette affaire. De toutes les manières, sa responsabilité reste engagée.